Poser ses limites Ma relation à moi, ma relation à l’autre

Poser ses limites Ma relation à moi, ma relation à l’autre Durant un long moment de ma vie, je ne savais pas poser mes limites — d’ailleurs, je ne les connaissais pas. Il m’a fallu un certain temps avant de les apprivoiser et de comprendre que je ne pouvais pas comparer les miennes à celles des autres, car chacun a ses propres limites, et celles-ci sont d’ailleurs évolutives dans le temps.

Audrey Lehy

11/10/20252 min read

Poser ses limites
Ma relation à moi, ma relation à l’autre

Durant un long moment de ma vie, je ne savais pas poser mes limites — d’ailleurs, je ne les connaissais pas.

Il m’a fallu un certain temps avant de les apprivoiser et de comprendre que je ne pouvais pas comparer les miennes à celles des autres, car chacun a ses propres limites, et celles-ci sont d’ailleurs évolutives dans le temps.

Une fois que je les avais rencontrées, il me fallait encore avoir le courage de les exprimer.

Lorsque nous sommes enfants, nous ne savons parfois pas comment dire « non ».
Et je crois que nombre d’entre nous gardons le souvenir de limites franchies maintes et maintes fois, puis, en grandissant… négociées.

Il m’arrive aujourd’hui de poser mes limites dans la peur, car mon mental se remémore toutes les fois où elles ont été dépassées. Il semble alors bien rodé pour m’inventer les pires scénarios possibles de non-respect, ce qui peut parfois me faire les exprimer sous la couverture de la peur.

Aujourd’hui, j’ai pris conscience à quel point cela a marqué mon corps — il s’en souvient — et qu’il avait besoin de libérer tout cela.


Si j’écris ce post, c’est pour ceux et celles qui se sentent concernés par cette dimension : celle des limites.

Les limites de son espace, de son corps, de son esprit…

Prenez soin de votre plexus, car c’est là que les barrières peuvent être abîmées par ces expériences. Elles peuvent être remplacées par un portail doré, que vous pouvez à votre guise ouvrir ou fermer, selon vos besoins.

Vous pouvez poser vos mains sur vos reins et votre bas du dos, qui ont tant besoin de sécurité.

La Grande Maman m’a montré que plus nous apprenons à poser nos limites dans l’amour et la paix, plus elles peuvent être entendues et comprises.

Cette année, j’ai fermé toutes les portes parce que j’en avais besoin.
Et depuis quelques mois, je les ouvre un peu…


J’apprends que j’ai le droit d’ouvrir grand un jour, et de refermer le lendemain.


Mon être est mon sanctuaire, et le respecter, c’est m’aimer.

Alors oui, parfois, il m’arrive encore d’avoir peur, et de ne pas toujours savoir l’exprimer… mais j’apprends.