Servir Vs Sauver

Dialogue avec la grande Maman

Audrey Lehy

11/10/20257 min read

Servir la Grande maman (la source, la conscience universelle, dieu, Tout ce qui est …) & sauver

Durant une méditation profonde, j’ai reçu des éclaircissements sur la notion de « service » ainsi que sur la dimension du « sauver ». J’espère que cette transmission vous fera tout autant de bien que ce qu’elle m’a procuré.

*****

Être au service ce n’est pas « se soumettre à ma volonté » mais plutôt faire ce choix, de ton plein gré, de tout ton cœur de marcher avec moi.

Me servir c’est servir tout ce qui existe, chaque être vivant, chaque chose visible et invisible.

Ce n’est pas pour moi mais pour tout ce qui est, pour l’ensemble. Pour tous !

Être à mon service c’est choisir de servir l’amour.

Je n’attends rien de toi, ni que tu sois parfait, ni que tu sois à mon image…. Je te guide au-dedans et tu peux répondre ou non à cet appel.

Répondre à cet appel c’est me servir.

Me servir, c’est servir l’amour.

****

A toi mon enfant qui a parfois l’âme sauveuse.

Le sacrifice et le service sont deux choses différentes.

Tu me sers lorsque cela respecte qui tu es et tes limites.

Saches que si tu ressens qu’un frère ou une sœur a besoin d’aide mais que tu ne te sens pas capable de répondre à cet appel, saches que quelqu’un d’autre y répondra.

Ne te sens pas coupable de ne pas être en mesure de répondre à cela. Te respecter entant que qui tu es, au cœur de tes limites c’est choisir l’amour pour toi.

Il y a des milliers d’êtres à mon service et là ou tu ne peux pas répondre à un appel, là où tu sens que tu ne peux apporter ton amour ou ton aide, rassures toi d’autres l’apporteront.

C’est pour cela que nous sommes une si belle et grande famille car il y a de l’entraide et du respect.

Être au service c’est de l’amour pour soi, en soi avant toutes choses car tout le reste découle de cet espace.

Tu peux aussi te souvenir que chaque frère et sœur m’abrite en son sein. Je vois que parfois tu essayes d’éviter la souffrance aux êtres qui te sont chers et c’est cela qui peux te pousser à vouloir sauver.

Saches qu’à travers les difficultés, ton frère, ta sœur trouve ainsi ses propres ressources, ses propres forces.

Et l’amour, que tu donnes en direct, à distance, par l’intention, par tes pensées, est déjà d’un très grand soutien. Plus que tu ne le crois.

La Grande Maman

Lorsque j’ai reçu cette guidance je comprenais et ressentais ce que c’est de servir quelqu’un qu’on aime tant (comme la Grande Maman), comme lorsqu’on rend un service à un ami ou un membre de notre famille et bien je ressentais que c’était la même chose.

J’ai eu aussi peur de ne pas toujours y arriver car jouant à l’humaine parfois je n’aime pas, parfois je grogne et sépare… et puis j’ai compris et ressenti que servir était un apprentissage et que cela restait un choix que je pouvais faire un instant, un jour, un mois, toute la vie…

Que si je m’égarais dans la peur, je pouvais revenir à l’amour tout simplement.

Je ressentais que dans la dimension du service à la source le stress n’est plus là, la peur de se tromper disparait aussi, il y a juste à se laisser guider, à se laisser porter, inspiré et à suivre cet appel comme on suivrait un chemin éclairé, balisé, protégé, préparé.

J’ai soupiré. C’était si doux…

Et me suis répété, servir la grande maman c’est servir l’amour et c’est un choix que je suis libre de prendre.

Je me suis aussi posée cette question que j’ai adressé à la Grande Maman : quand est ce que je sais que je te sers grande maman ?

Elle m’a répondu : lorsque tu ressens un alignement, lorsque quand tu fais ce que tu fais, tu sens que tu es toi, du plus profond. Lorsque tu ressens une justesse là-dedans ou de la joie.

Lorsque tu me sers ton énergie s’expanse.

Ce sont tous ces petits signes qui te permettent de ressentir que tu es à mon service.

Et lorsque ce n’est pas le cas, saches que cela a du sens tout de même car quoique tu expérimentes il y a dedans quelque chose à apprendre, que tu sois à mon service ou non.

La toute dernière chose qui m’a été montré c’est qu’être au service se produit lorsqu’il y a une certaine maturité.

Ma conscience individuelle à imagé la réception de ce message par une pomme rouge qui se décrochait de l’arbre.

J’ai compris qu’être au service se produit lorsque l’expérience du karma (nœud sud en astrologie) se termine pour se diriger vers le dharma (le nœud nord).

C’est ici aussi je pense que nous quittons l’expérience de la souffrance pour vivre une tout autre expérience. Celle où l’on peut s’abandonner à cette grande sagesse infinie qui est l’amour éternel.

Servir la Grande Maman (la source, la conscience universelle, dieu, Tout ce qui est…)

Durant une méditation profonde, j’ai reçu des éclaircissements sur la notion de « service » ainsi que sur la dimension du « sauver ». J’espère que cette transmission vous fera tout autant de bien que ce qu’elle m’a procuré.

Cette transmission a commencé par ce dialogue intérieur ou la Grande Maman m’expliquait ce que c’était d’être au service

Être au service, ce n’est pas « se soumettre à ma volonté » mais plutôt faire ce choix, de ton plein gré, de tout ton cœur, de marcher avec moi.

Me servir, c’est servir tout ce qui existe, chaque être vivant, chaque chose visible et invisible.

Ce n’est pas pour moi mais pour tout ce qui est, pour l’ensemble. Pour tous !

Être à mon service, c’est choisir de servir l’amour.

Je n’attends rien de toi, ni que tu sois parfait, ni que tu sois à mon image… Je te guide au-dedans et tu peux répondre ou non à cet appel.

Répondre à cet appel, c’est me servir.

Me servir, c’est servir l’amour.

À toi, mon enfant qui a parfois l’âme sauveuse.

Le sacrifice et le service sont deux choses différentes.

Tu me sers lorsque cela respecte qui tu es et tes limites.

Sache que si tu ressens qu’un frère ou une sœur a besoin d’aide mais que tu ne te sens pas capable de répondre à cet appel, sache que quelqu’un d’autre y répondra.

Ne te sens pas coupable de ne pas être en mesure de répondre à cela. Te respecter en tant que qui tu es, au cœur de tes limites, c’est choisir l’amour pour toi.

Il y a des milliers d’êtres à mon service et là où tu ne peux pas répondre à un appel, là où tu sens que tu ne peux apporter ton amour ou ton aide, rassure-toi, d’autres l’apporteront.

`

C’est pour cela que nous sommes une si belle et grande famille, car il y a de l’entraide et du respect.

Être au service, c’est de l’amour pour soi, en soi avant toutes choses, car tout le reste découle de cet espace.

Tu peux aussi te souvenir que chaque frère et sœur m’abrite en son sein. Je vois que parfois tu essayes d’éviter la souffrance aux êtres qui te sont chers et c’est cela qui peut te pousser à vouloir sauver.

Sache qu’à travers les difficultés, ton frère, ta sœur trouve ainsi ses propres ressources, ses propres forces.

Et l’amour que tu donnes en direct, à distance, par l’intention, par tes pensées, est déjà d’un très grand soutien. Plus que tu ne le crois.

La Grande Maman

Lorsque j’ai reçu cette guidance, je comprenais et ressentais ce que c’est de servir quelqu’un qu’on aime tant (comme la Grande Maman), comme lorsqu’on rend un service à un ami ou un membre de notre famille, et bien je ressentais que c’était la même chose.

J’ai eu aussi peur de ne pas toujours y arriver, car jouant à l’humaine, parfois je n’aime pas, parfois je grogne et sépare… et puis j’ai compris et ressenti que servir était un apprentissage et que cela restait un choix que je pouvais faire un instant, un jour, un mois, toute la vie…

Que si je m’égarais dans la peur, je pouvais revenir à l’amour tout simplement.

Je ressentais que dans la dimension du service à la source, le stress n’est plus là, la peur de se tromper disparaît aussi, il y a juste à se laisser guider, à se laisser porter, inspirer et à suivre cet appel comme on suivrait un chemin éclairé, balisé, protégé, préparé.

J’ai soupiré. C’était si doux…

Et je me suis répété : servir la Grande Maman, c’est servir l’amour et c’est un choix que je suis libre de prendre.

Je me suis aussi posée cette question que j’ai adressée à la Grande Maman : quand est-ce que je sais que je te sers, Grande Maman ?

Elle m’a répondu : lorsque tu ressens un alignement, lorsque, quand tu fais ce que tu fais, tu sens que tu es toi, du plus profond. Lorsque tu ressens une justesse là-dedans ou de la joie.

Lorsque tu me sers, ton énergie s’expanse. Ce sont tous ces petits signes qui te permettent de ressentir que tu es à mon service.

Et lorsque ce n’est pas le cas, sache que cela a du sens tout de même, car quoique tu expérimentes, il y a dedans quelque chose à apprendre, que tu sois à mon service ou non.

La toute dernière chose qui m’a été montrée, c’est qu’être au service se produit lorsqu’il y a une certaine maturité.

Ma conscience individuelle a imagé la réception de ce message par une pomme rouge qui se décrochait de l’arbre.

J’ai compris qu’être au service se produit lorsque l’expérience du karma (nœud sud en astrologie) se termine pour se diriger vers le dharma (le nœud nord).

C’est ici aussi, je pense, que nous quittons l’expérience de la souffrance pour vivre une tout autre expérience. Celle où l’on peut s’abandonner à cette grande sagesse infinie qui est l’amour éternel.

CE QUE TU ES EST LE CADEAU DE LA SOURCE, CE QUE TU DEVIENS EST TON CADEAU A ELLE.